Mis à jour le :
May 20, 2025

Comment améliorer le bien-être au travail ?

Sommaire

  1. Le bien-être au travail, une nouvelle priorité
  2. Les 5 bonnes pratiques testées et approuvées par Teelt
  3. Les 5 nouveaux leviers du bien-être au travail en 2025
  4. Ce que les études les plus récentes en disent sur le bien-être au travail
  5. Savoir laisser place aux nouvelles opportunités sur le bien-être de vos collaborateurs

Le bien-être… au travail ?

Quand vous pensez au bien-être, vous pensez tout de suite à ça ?

Nous aussi, nous pensions à des activités à faire en groupe, plutôt axées sur la détente. Mais c’était jusqu’à ce que nous lisions l’article du blog Alex et Alex qui introduit le propos en posant LA bonne question : le bien-être au travail, c’est quoi ?

Si l’on devait le résumer en une phrase, le bien-être au travail, c’est un état d’esprit individuel et collectif harmonieux qui permet à chacun de se sentir à son aise et dans les meilleures dispositions pour travailler.

Nous avons donc choisi d’explorer cette définition (pas forcément après une salutation au soleil 😉) et de vous partager ce qui fonctionne pour nous.

Nos 5 bonnes pratiques, testées et approuvées !

Les 5 bonnes pratiques approuvées par notre team pour améliorer le bien-être au travail chez Teelt :

1. De tes collaborateurs, tu prendras soin !

Travailler en open space soulève toujours la même question : “Tu arrives à te concentrer ?”

Chez Teelt, nous travaillons en open space. Pour éviter toute perturbation (ou gêne de nos collaborateurs), nous utilisons une salle dédiée pour nos visioconférences. Nous apprécions l’open space car il nous permet d’échanger plus rapidement, mais pouvoir s’isoler doit toujours être possible. Il s’agit de l’un des éléments clés de la façon dont nous envisageons le bien-être au travail. 

Notre règle d’or : ne pas gêner le travail des autres !

Nous partageons également nos bureaux avec d’autres entreprises. Cela nous permet de discuter de nos problématiques avec des personnes extérieures à notre entreprise, qui ont souvent une vision différente et nous permettent de trouver des solutions alternatives. Il est donc nécessaire d’étendre la notion de bien-être en dehors de Teelt !

Autre point clé, être ensemble, même en étant loin.

Nous utilisons un outil dédié (Gather) à la gestion de notre équipe, qui n’est pas toujours rassemblée à Paris. Maxime est souvent à Nantes, Jonathan, Antoine et Jean-Sébastien à Bastia, Yann à Paris, ainsi que Nora et Solène, sans compter Billy et Ludo, nos deux membres nomades que vous ne serez pas surpris de croiser entre la Suisse, Stockholm, la République Tchéque… et Nice. 

En open space, à distance, au bureau : travailler de façon hybride est notre quotidien et nous avons décidé d’en tirer tous les bénéfices ! (et il y en a beaucoup).

Le travail en équipe
Le travail en équipe - Teelt

2. A une demi-journée de cohésion, tu participeras !

Cette idée nous a été inspirée par Kollori. Une demi-journée complètement off, au moins une fois par semestre, pour faire connaissance mais aussi pour développer les relations au sein de l’équipe. Cette bonne pratique permet de découvrir des points communs, des sujets de discussion. Nous apprécions ce format car il offre la possibilité d’échanger en dehors du cadre formel de nos bureaux, sur des sujets qui ne sont pas toujours reliés à la production par exemple, le bien-être au travail 😏 ou l’onboarding RH d’un futur collaborateur 🚀.

En bref : du temps que nous pouvons accorder pour du small talk (vous avez déjà fait vos courses de Noël ?), se régaler autour d’un déjeuner d’équipe et renforcer les liens.

3. A distance ou au bureau, le choix tu auras !

Le télétravail s’est largement démocratisé depuis le premier confinement. Les circonstances exceptionnelles et la garde d’enfants ont été des problématiques supplémentaires à gérer, en plus de l’organisation d’un espace de travail chez soi. Pour autant, le télétravail a aussi permis de développer une meilleure productivité : en effet, nous sommes moins interrompus et donc plus concentrés. Cela permet aussi d’avoir un impact durable positif en limitant les déplacements.

Mais attention ! Ce n’est pas parce que le télétravail est perçu comme une opportunité, qu’il doit devenir une règle, car il peut aussi être une contrainte pour certains collaborateurs. Télétravail ne rime pas toujours avec bien-être, qu’il soit personnel ou dans le cadre de son job, notamment dans les phases d’onboarding RH. L’important est de fixer les règles de ce dispositif, autour d’un consensus, comme le précise Les Ateliers Durables qui proposent 6 étapes pour le déployer. Il est fondamental, dans un premier temps, de faire le point sur les besoins et attentes des salariés, avant de passer à une phase de test. Une piste toute tracée pour intégrer le télétravail et en faire un atout du bien-être au travail !

Collaborateur et le bien-être en entreprise
Le télétravail - Teelt

4. Un outil de gestion de projet collaboratif, tu utiliseras !

Plus les sujets sont nombreux à traiter, plus il est difficile que l’information soit connue de tous. Afin de faciliter la circulation des informations, nous avons adopté l’outil Notion, qui permet de gérer nos processus de façon 100% digitalisée et accessible. Les dossiers en cours sont divisés en tâches, classées pour chacun de nous. Ce même niveau d’information nous fait gagner du temps, nous impose de documenter les process de l’entreprise et permet aussi d’inclure l’ensemble de l’équipe au sein du workflow.

Et cela facilite notre propre onboarding RH de nos nouveaux collaborateurs.

5. Tes nouveaux collègues, tu accueilleras comme il se doit !

Chez Teelt, nous avons décidé de contredire l’adage “Ce sont les cordonniers les plus mal chaussés”.

Nous avons donc mis en place un processus pour les nouvelles embauches !

Il est stratégique pour toute entreprise d’accorder une attention particulière à l’intégration de ses nouvelles recrues. Un nouveau collaborateur qui se sent intégré, sera tout de suite investi dans la dynamique de l’entreprise. C’est d’ailleurs le postulat sur lequel Teelt a été fondé. Connaître l’environnement de travail, la culture de l’entreprise, les process de validation et les circuits de décision sont des éléments fondamentaux, qui permettent à la fois de garantir une bonne ambiance de travail mais aussi une productivité optimisée, dès l’embauche.

Il est stratégique pour toute entreprise d’accorder une attention particulière à l’intégration de ses nouvelles recrues. Un nouveau collaborateur qui se sent intégré, sera tout de suite investi dans la dynamique de l’entreprise. C’est d’ailleurs le postulat sur lequel Teelt a été fondé. Connaître l’environnement de travail, la culture de l’entreprise, les process de validation et les circuits de décision sont des éléments fondamentaux, qui permettent à la fois de garantir une bonne ambiance de travail mais aussi une productivité optimisée, dès l’embauche.

Vous prévoyez l’onboarding d’une nouvelle recrue dans votre équipe ? Nous avons une solution pour vous

La transformation digitale des entreprises accélère aussi notre façon de traiter les informations, autant que les impératifs de timing.

Si votre entreprise est en croissance, qu’elle se structure ou bien se réorganise, il est important d’accorder du temps à l’intégration des nouveaux collaborateurs : ils composeront demain votre équipe et une bonne ambiance de travail est garante du bien-être de chacun bien sûr, mais aussi de la motivation de toute l’équipe.

Vous l’aurez compris, chez Teelt, le bien-être au travail fait écho avec des notions de dynamiques positives d’équipe, qui sont au centre de notre action. Nous espérons vous avoir donné quelques idées pour améliorer le bien-être au travail et si vous avez des questions plus spécifiques sur l’onboarding de vos nouveaux salariés, nous sommes à votre disposition.

Prendre en compte les biens êtres de vos collaborateurs n'a jamais été aussi important qu'aujourd'hui

Face à la montée des préoccupations concernant l'épuisement professionnel et la santé mentale, les entreprises comprennent de plus en plus que soutenir le bien-être physique, mental et émotionnel de leurs équipes favorise non seulement la santé individuelle, mais renforce aussi la productivité, la loyauté et l’engagement des collaborateurs. Des pratiques visant à améliorer l’équilibre vie pro-vie perso, la flexibilité, et les ressources santé deviennent ainsi clés pour rester compétitif et agile.

Les 5 nouveaux leviers qui tournent autour du bien-être pour les collaborateurs en 2025

Comme vous l’avez sans doute remarqué, avant 2024, le bien-être au travail pouvait encore être perçu comme un “plus”, un petit extra proposé par les RH. Mais cette époque est déjà derrière nous. Les collaborateurs, eux, ont goûté à autre chose – que ce soit grâce aux initiatives publiques, privées, ou tout simplement par l’évolution des mentalités après les périodes post et pré-Covid.

Aujourd’hui, ils n’ont plus envie de revenir en arrière. Ils savent ce qu’ils valent, ils savent ce qu’ils apportent. Et ils le montrent : ils recherchent du sens, mais aussi des preuves concrètes qu’une entreprise investit vraiment dans leur vie professionnelle, pas uniquement dans leur productivité.

Parce qu’au fond, les talents d’aujourd’hui ont compris une chose : s’ils peuvent être remplacés, une entreprise aussi peut l’être à leurs yeux. Et face à cette nouvelle posture, le bien-être au travail est passé d’un simple avantage… à un vrai levier stratégique.

Face à ces nouvelles attentes, certaines entreprises prennent de l’avance en misant sur des leviers de bien-être plus profonds, mieux alignés avec les aspirations des talents d’aujourd’hui. Voici les plus remarquables.

  1. Le bien-être numérique comme priorité.

Avec l’explosion des outils collaboratifs et la généralisation du télétravail, la surcharge numérique est devenue un risque majeur. Selon l’Anact (Agence nationale pour l’amélioration des conditions de travail), la “surcharge informationnelle” affecte la concentration et la santé mentale de nombreux salariésLes entreprises avant-gardistes intègrent désormais des chartes de déconnexion, des formations sur la gestion des notifications, et des audits de charge digitale.

  1. La flexibilité choisie, et non imposée.

La flexibilité n’est plus simplement synonyme de télétravail ponctuel ou d’accord de circonstance. C’est devenu une attente structurante pour les collaborateurs. Selon une étude de Statista, près de 80 % des télétravailleurs en France souhaitent conserver au moins un jour de télétravail par semaine — preuve que cette modalité n’est plus perçue comme un privilège, mais comme un standard.

Mais la vraie transformation vient de la notion de flexibilité choisie : donner aux collaborateurs le pouvoir de décider où, quand et comment ils travaillent, selon les contraintes de leur vie personnelle et les exigences de leur post.

  1. Le soutien actif à la santé mentale

Ces dernières années, le sujet de la santé mentale au travail a pris une ampleur sans précédent. En France, plus de 10 000 accidents du travail liés à des troubles psychosociaux ont été reconnus en 2023, selon les derniers chiffres de l’Assurance maladie relayés par Novethic. Burn-out, dépressions, anxiété… L’entreprise est désormais directement concernée par cette “épidémie silencieuse” qui affecte la performance, l’engagement et la fidélité des collaborateurs.

Là où autrefois le bien-être psychologique était relégué à la sphère privée, il devient aujourd’hui une responsabilité partagée entre l’organisation et ses salariés.

Les entreprises les plus proactives ne se contentent plus de “prévenir le stress” : elles mettent en place des dispositifs concrets : cellules d’écoute, accompagnement psychologique, formations à la gestion des émotions, droit à la déconnexion respecté et valorisé.

  1. L’expérience collaborateur comme fil conducteur

Comme le rappelle Seequalis, c’est l’expérience globale du collaborateur qui devient l’enjeu central des entreprises souhaitant fidéliser et engager durablement leurs talents.
Cela signifie que chaque point de contact entre l’entreprise et son collaborateur – de l’onboarding au départ éventuel – participe à la perception de son bien-être. L’environnement de travail, la qualité des échanges avec les managers, la reconnaissance quotidienne, les outils mis à disposition : tout cela constitue une chaîne indissociable.

Or, trop souvent, les entreprises traitent ces moments de façon isolée, sans vision d’ensemble. Résultat : des actions déconnectées, parfois contre-productives, qui peinent à nourrir un vrai sentiment d’appartenance.

  1. L’écoute continue plutôt qu’un questionnaire annuel

Parce que les attentes, les frustrations et les besoins des collaborateurs évoluent constamment. Un point de friction ignoré pendant des mois peut se transformer en désengagement silencieux… ou en départ.

Mettre en place une culture du feedback continu, c’est créer des boucles d’écoute régulières et accessibles, où la parole circule sans peur ni jugement.

Cela passe par :

  • Des check-ins fréquents, formels ou informels, entre managers et collaborateurs.
  • Des outils numériques simples pour recueillir les impressions en temps réel.
  • Des feedbacks bidirectionnels, où les managers aussi acceptent d’être évalués et challengés.

Une séance de team building pour le bien-être des salariés

Ce que les études les plus récentes en disent sur le bien-être au travail

es dernières années, les chiffres s’accumulent et dressent un constat sans appel : le bien-être au travail est devenu un indicateur central de la santé des organisations. Mais au-delà des discours, que révèlent concrètement les études les plus récentes ?

D’abord, il faut se pencher sur un chiffre marquant : 41 % des Français déclarent avoir déjà vécu un trouble psychique ou une souffrance psychologique au cours de leur vie . Ce chiffre, préoccupant à l’échelle de la société, résonne particulièrement fort dans l’univers professionnel, où le travail est parfois à l’origine ou l’amplificateur de ces troubles.

Ensuite, côté entreprise, 82 % des DRH estiment que le bien-être des salariés est devenu un enjeu stratégique pour attirer et fidéliser les talents. Ce consensus montre que le bien-être n’est plus perçu comme un simple “bonus” RH, mais bien comme un levier de performance durable. Pourtant, l’écart reste grand entre l’intention et la réalité sur le terrain.

Car derrière les initiatives visibles – séances de yoga, espaces détente, horaires aménagés – un phénomène plus discret inquiète : le “quiet quitting” ou désengagement silencieux. Selon les dernières analyses, de plus en plus de collaborateurs adoptent cette posture : ils font le strict minimum requis par leur poste, mais sans adhérer ni s’investir émotionnellement dans l’entreprise . Un signal faible mais puissant d’un mal-être plus profond, souvent invisible, mais qui mine la dynamique collective.

Enfin, ces études convergent vers un point clé : le bien-être n’est pas qu’une question d’initiatives ponctuelles ou de bienveillance déclarative. Il dépend de facteurs systémiques : qualité du management, reconnaissance, charge de travail, clarté des rôles… autant de leviers structurels encore trop négligés dans certaines organisations.

Savoir laisser place aux nouvelles opportunités sur le bien-être de vos collaborateurs

Trop d’organisations tombent dans le piège d’un bien-être “figé” : une fois le babyfoot installé, les séminaires bien-être programmés et la charte rédigée, on considère la mission accomplie. Mais le véritable enjeu, c’est la capacité à laisser entrer de nouvelles opportunités, même inattendues, même inconfortables.

Prenons l’exemple des demandes de flexibilité individuelle : là où hier on refusait toute exception par peur de créer des précédents, certaines entreprises choisissent aujourd’hui d’expérimenter, d’ajuster, de tester. Offrir quelques jours de télétravail supplémentaires à un collaborateur aidant un proche, aménager temporairement les horaires d’un parent solo… Ce sont ces micro-adaptations, au cas par cas, qui nourrissent un bien-être concret et ressenti.

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