C’est aujourd’hui une réalité : la transformation digitale des entreprises a révolutionné les façons de faire, notamment dans les RH. On peut légitimement se poser la question de l’humain dans ces nouveaux usages, de sa place, de son importance.
C’est aujourd’hui une réalité : la transformation digitale des entreprises a révolutionné les façons de faire, notamment dans les RH.
On peut légitimement se poser la question de l’humain dans ces nouveaux usages, de sa place, de son importance.
Chez Teelt, nous avons développé une plateforme d’onboarding digitale - certes - mais pensée pour faire du lien. On a coutume de dire que notre plateforme d’expérience collaborateur est “boostée à l’intelligence humaine”.
Pour nous, le digital est un moyen de faire “plus d’humain”.
C’est ce que notre client Imanis retient d’ailleurs de sa pratique de la plateforme.
Notre conviction est que le lien social est central dans les entreprises. Et nous ne sommes pas les seuls à le penser.
En 2017, le cabinet de recrutement Michael Page révélait d’ailleurs que 97% des salariés interrogés considéraient qu’avoir de bonnes relations avec son N+1 comme avec ses collègues était très important.
5 ans plus tard, le besoin de relations humaines au sein de l’entreprise n’a pas décru, au contraire.
Plus que jamais, l’accueil de nouveaux talents se révèle être un moment crucial pour tisser des liens authentiques et durables. C’est pourquoi, que vous utilisiez des outils digitaux ou non, penser un onboarding centré sur l’humain revêt une importance toute particulière.
Si l’on jette un petit coup d'œil dans le rétroviseur, on prend rapidement la mesure de la place grandissante de “l’humain” dans nos entreprises.
Pour preuve, au milieu du siècle dernier, on parlait volontiers de “gestion du personnel”. D’un point de vue sémantique, on pourrait penser que les talents sont regroupés dans un ensemble indistinct : “le personnel”.
Depuis la fin des années 1980, on parle davantage de “Ressources Humaines”. L’entreprise va “puiser” auprès de ses collaborateurs l’intelligence humaine nécessaire au bon fonctionnement de l’organisation.
Cette bascule sémantique pourrait paraître anecdotique et pourtant, elle traduit bien le changement profond des attentes des salariés.
Les observateurs avaient déjà relevé que les “Y-ers”, les actifs nés entre 1980 et 1995, avaient un besoin de reconnaissance et de considération supérieur à leurs parents.
À son entrée dans le monde du travail, au début des années 2000, cette “génération Y” avait déjà bien challengé les managers dans leurs approches.
Inutile de préciser qu’avec les bouleversements de la crise COVID, cette tendance s’est plus qu’accentuée. Le besoin de plus “d’humain” et de plus de “sens” revient dans l’immense majorité des études menées sur les attentes des salariés.
Pour les services RH, cette demande croissante d’humain de la part des salariés exige des adaptations rapides et notables.
En 2017, une étude de Qapa News alertait sur le fait que la majorité des salariés sondés trouvaient leur DRH peu à l’écoute. 77% estimaient que ces derniers ne suivaient pas assez leur carrière.
Pour répondre à ces attentes, des “talent managers” ont peu à peu rejoint les rangs des services RH. Leur mission : recruter, faire évoluer et conserver les talents dans l’entreprise. Un interlocuteur privilégié chargé de co-construire les carrières des collaborateurs.
On pourrait faire le même constat sur l’émergence de l’onboarding : une pratique récente qui témoigne de l’envie d’humaniser l’accueil des talents.
Découvrez l’histoire de l’onboarding sur notre blog.
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S’il y a bien un moment où le talent a besoin de sentir l’approche humaine de son employeur, c’est à son arrivée. Et si le sens de l’accueil est particulièrement apprécié pour le premier jour de travail, on note que les talents sont à la recherche d’un bon contact humain dès l’entretien d’embauche.
Dans son étude “Processus de recrutement : perceptions et attentes des candidats”, le cabinet de recrutement Michael Page relevait que les candidats aspirent désormais à appréhender les valeurs et la culture de l’entreprise dès les phases de recrutement.
Ils sont d’ailleurs 91% à demander une plus grande immersion dans la culture d’entreprise via des visites des locaux, des échanges avec les équipes lors des entretiens.
Avec la montée en puissance du télétravail, on aurait pu penser que la vie de bureau n’intéressait plus les salariés. Mais si les discussions à la machine à café séduisent moins, il semble au contraire que le contact humain demeure un besoin premier pour les talents, en particulier au moment de l’onboarding.
Retrouvez les grands enjeux de l’onboarding digital sur notre blog
Comme dans tous les processus de transformation, il coexiste actuellement au sein du monde du travail des usages a priori antinomiques.
En effet, si les talents témoignent de leur besoin de contact humain, ils sont plus de la moitié à apprécier les nouveaux outils digitaux : entretien en visio, CV vidéo, test de personnalité à distance.
On n’associe plus forcément le digital avec une forme de déshumanisation des échanges.
C’est surtout le cas lorsque l’entreprise s’est suffisamment appropriée les outils numériques, pour parvenir à en tirer le meilleur pour garantir l’essentiel : le lien.
Éviter à un talent de se déplacer dans les circonstances stressantes d’un entretien d’embauche, pour lui permettre d’être dans les meilleures conditions pour échanger en visio, c’est une façon empathique de prendre un premier contact.
Il faut avoir vécu dans une caverne ces 10 dernières années pour ne pas noter que la recherche de “sens” est omniprésente dans les réflexions sur le travail.
Les entreprises se questionnent - à juste titre - sur leur raison d’être, leur mission, leur responsabilité sociale et environnementale.
Dans une étude datant de 2022, l’APEC rapporte que pour 95% des cadres interrogés, il est essentiel d’exercer un métier “qui a du sens”.
Un chiffre écrasant qui montre à lui seul l’importance de l’enjeu.
Mais qu’est-ce que les collaborateurs entendent par “plus de sens” dans leur métier ?
Selon la même étude, cette notion recouvre trois dimensions :
Bref, en un mot, “le sens” recherché par les cadres, c’est de l’humain !
Les valeurs de l’entreprise sont aujourd’hui parties prenantes de sa “marque employeur”.
Les talents demandent une grande transparence sur ces sujets pour valider, ou non, leur adhésion au projet de l’entreprise.
Pour embarquer des talents et les garder, les dirigeants doivent incarner leur entreprise et lui donner du “sens”, c’est à dire une direction et une raison d’être.
C’est pour toutes ces raisons qu’un onboarding humain, bien pensé, est un rendez-vous à ne surtout pas rater avec vos talents.
Prôner la bienveillance sur LinkedIn c’est bien, l’incarner dans la réalité, c’est mieux.
À ce titre, il n’y a pas de meilleure occasion de le faire que le jour de l’accueil.
La dimension de vos équipes ou la configuration de vos sites ne vous permettront peut-être pas d'accueillir personnellement tous vos nouveaux arrivants.
Qu’à cela ne tienne, le digital ne vous empêche aucunement de proposer une expérience “boostée à l’intelligence humaine”
Teelt vous permet par exemple de donner les infos importantes en amont, de désigner un “buddy”, un parrain qui accueillera physiquement la nouvelle recrue, de s’assurer que tout est en place sur son bureau et d’obtenir des feedbacks grâce au rapport d’étonnement. Ce coéquipier a de la valeur pour l’entreprise et vous lui faites ainsi sentir qu’il est attendu.
Encore plus d’humain, plus de lien.
Comme souvent, la tech est un “moyen de” et non une fin en soi. Utilisez les fonctionnalités de notre plateforme digitale pour créer un onboarding humain, qui vous ressemble. C’est ce que les talents attendent de vous.