Des milliers d’euros investis. Une arborescence bien pensée. Des actualités mises à jour. Une jolie interface. Et pourtant… les taux de connexion plafonnent. Les collaborateurs n’y trouvent pas ce qu’ils cherchent, ou pire, ne comprennent pas à quoi il sert.
C’est le grand paradoxe de l’intranet : il est censé rassembler, mais finit parfois par isoler.
Non pas parce qu’il est mal conçu techniquement, mais parce qu’il a été pensé sans destinataire clair.
Dans beaucoup d’organisations, l’intranet est construit comme une vitrine RH ou corporate. Il parle de la stratégie, des actualités, des process. Mais il ne parle pas aux collaborateurs, dans leur réalité quotidienne.
Un nouveau commercial qui cherche la grille tarifaire ? Il ne la trouve pas.
Un salarié en mobilité qui veut savoir comment déclarer son changement de poste ? Il doit passer cinq pages avant d’avoir une réponse.
Et petit à petit… on contourne l’intranet. On demande à un collègue. On ouvre un vieux PDF. On abandonne.
L’intranet doit être conçu comme un espace conversationnel, pas seulement informatif. Il doit vivre au rythme des collaborateurs, répondre à leurs besoins immédiats et refléter leur diversité.
Un bon intranet, aujourd’hui, c’est :
Et surtout… c’est un outil co-construit avec les collaborateurs.
Dans une organisation, le mode de circulation de l’information n’est jamais neutre. Il reflète – et façonne – la culture managériale. Et l’intranet, censé être un vecteur de cette circulation, peut soit fluidifier les échanges… soit accentuer les silos et les frustrations.
L’enjeu, encore une fois, n’est pas l’outil en soi, mais la philosophie qu’on y injecte. Un intranet utile est celui qui comprend la diversité des usages, des rôles, des niveaux d’appétence technologique.
Avant même de penser arborescence ou design, il faut identifier :
Une fois ces profils établis, on peut structurer le contenu en conséquence.
Dans la plupart des entreprises, l’intranet joue un rôle structurant : c’est le point d’accès aux documents internes, aux actualités, aux référentiels RH ou encore aux outils métier. Mais malgré ses atouts techniques, il reste souvent un outil passif : il diffuse de l’information, sans nécessairement guider l’action ou créer un véritable lien.
C’est là qu’une solution comme Teelt intervient. Pensée pour orchestrer l’ensemble du parcours collaborateur — de l’onboarding à l’offboarding — la plateforme complète ce que l’intranet ne sait pas faire seul :
Plutôt qu’un accès libre à une arborescence de contenus, Teelt propose une logique de workflow scénarisé : les informations sont délivrées au bon moment, selon l’étape du collaborateur dans son cycle de vie (préboarding, arrivée, mobilité, départ…).
Contrairement à un intranet classique, Teelt permet d’automatiser les relances, formulaires, rappels de tâches ou encore les prises de feedback. Cela garantit que chaque collaborateur vive un parcours fluide, sans dépendre d’une navigation proactive sur l’intranet.
L’intranet centralise des ressources ; Teelt centralise des actions. Suivi d’onboarding, check-ins managériaux, rapport d’étonnement, ou encore étapes de mobilité interne : tout est pensé pour créer une expérience cohérente et personnalisée.
En clair : là où l’intranet stocke, Teelt active.
Plutôt que de les opposer, il est bien plus pertinent de penser ces deux outils en complémentarité. Une entreprise qui couple un intranet bien structuré à un outil d’onboarding intelligent maximise à la fois la diffusion de l’information et l’engagement collaborateur.
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